La question sur le respect des droits de l’homme en Côte d’Ivoire est n’est pas à déplorer. Mieux, le pays enregistre de bons résultats selon les rapports 2018 et 2019 du Conseil Nation des Droits de l’Homme (CNDH).

Le conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) de Côte d’Ivoire a remis les rapports 2018 et 2019 au gouvernement ivoirien. C’était ce lundi 16 novembre 2020 à Abidjan. Le ministre auprès du Président de la République chargé des Institutions de la République, Gilbert Kafana Koné, les a reçus des mains de la présidente de ladite institution, Mme Namizata Sangaré.

Notons que ces rapports annuels comprennent, chacun, trois parties, notamment l’état des droits de l’homme, les acquis, les perspectives et les recommandations, et la troisième partie présente les activités du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH).

Gilbert Kafana Koné, par ailleurs maire de la commune de Yopougon, a salué le travail abattu jusque-là. Selon lui, ses résultats satisfaisants répondent à l’exigence de la Côte d’Ivoire de construire un idéal démocratique.

Le ministre chargé des Institutions de la République a indiqué que le CNDH est un instrument « important de la construction de la paix et de la cohésion sociale ».

Quant à la présidente du CNDH, Namizata Sangaré, elle a relevé l’engagement du gouvernement ivoirien à tout mettre en œuvre pour la promotion et le respect des Droits de l’Homme. C’est ce qui a permis, a-t-elle souligné, au pays d’être réélu au conseil des droits de l’homme pour le compte du groupe Afrique de l’Ouest pour trois ans, à compter de janvier 2021.

Au regard de tout ce qui précède, on peut donc retenir que la Côte d’Ivoire est l’un des pays Africains les plus imposants vu les résultats escomptés.

La question sur le respect des droits de l’homme en Côte d’Ivoire est n’est pas à déplorer. Mieux, le pays enregistre de bons résultats selon les rapports 2018 et 2019 du Conseil Nation des Droits de l’Homme.  

Le conseil National des Droits de l’Homme (CNDH) de Côte d’Ivoire a remis les rapports 2018 et 2019 au gouvernement ivoirien. C’était ce lundi 16 novembre 2020 à Abidjan. Le ministre auprès du Président de la République chargé des Institutions de la République, Gilbert Kafana Koné, les a reçus des mains de la présidente de ladite institution, Mme Namizata Sangaré.

Notons que ces rapports annuels comprennent, chacun, trois parties, notamment l’état des droits de l’homme, les acquis, les perspectives et les recommandations, et la troisième partie présente les activités du Conseil National des Droits de l’Homme (CNDH).

Gilbert Kafana Koné, par ailleurs maire de la commune de Yopougon, a salué le travail abattu jusque-là. Selon lui, ses résultats satisfaisants répondent à l’exigence de la Côte d’Ivoire de construire un idéal démocratique.

Le ministre chargé des Institutions de la République a indiqué que le Conseil National des Droits de l'Homme est un instrument « important de la construction de la paix et de la cohésion sociale ».

Quant à la présidente du CNDH, Namizata Sangaré, elle a relevé l’engagement du gouvernement ivoirien à tout mettre en œuvre pour la promotion et le respect des Droits de l’Homme. C’est ce qui a permis, a-t-elle souligné, au pays d’être réélu au conseil des droits de l’homme pour le compte du groupe Afrique de l’Ouest pour trois ans, à compter de janvier 2021.

Au regard de tout ce qui précède, on peut donc retenir que la Côte d’Ivoire est l’un des pays Africains les plus imposants en la matière, vu les résultats escomptés.

La rédaction Aprnews
Elysée Tapé