Pour le Front populaire ivoirien (FPI), version Pascal Affi N’Guessan, malgré l’épidémie du Covid-19, la Côte d’Ivoire est encore dans les délais pour tenir l’élection présidentielle à la date du 31 octobre 2020. 
Joint par Aprnews, Sangaré Issiaka, secrétaire général de cette tendance du FPI (la branche reconnue par les autorités du pays), a affiché cet optimisme, en dépit du fait que l’opération d’enrôlement des électeurs n’a pas encore démarré, en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19. 

Voilà plusieurs semaines que les Ivoiriens appelaient de tous leurs vœux, une union sacrée de la classe politique nationale dans la lutte contre le nouveau Coronavirus (Covid-19), qui a déjà infecté 179 personnes et causé un décès dans le pays. 

Leurs vœux seront enfin exaucés avec la rencontre annoncée des leaders des trois plus grands partis de la scène politique nationale. 

Dans la nuit du samedi 28 au dimanche 29 mars 2020, Pascal Affi N'guessan, président du Fpi, a fait une adresse vidéo à la nation dans laquelle il propose une série de solutions économiques au gouvernement pour une lutte efficace contre la pandémie du Covid-19. 

Tout d'abord, l'ex-premier ministre ivoirien souhaite que soit prise une décision d'ordre réglementaire ou législatif pour garantir les emplois et les salaires des travailleurs. 

Le ballet des mesures face à la propagation de la maladie à Coronavirus continue. Au tour de Pascal Affi N'guessan, Président du Front populaire ivoirien (Fpi), parti de l'opposition, de proposer le samedi 21 mars 2020, ses mesures.

Propositions :

Le Président du Front Populaire Ivoirien, Pascal Affi N'guessan, a, lors de son adresse ce samedi 21 mars 2020, accusé le gouvernement d'être à la base de la situation qui prévaut  en ce moment dans le pays. 

Selon lui, << Aucune politique sérieuse de sensibilisation des populations sur la gravité de la menace et l’importance du respect des mesures édictées n’a été mises en place>> en ce qui concerne le Covid-19.

L’ancien président ivoirien, Laurent Gbagbo n’a « jamais mandaté, ni autorisé une quelconque intervention, en son nom, de Monsieur Pascal Affi N’guessan auprès des autorités ivoiriennes » selon son avocate Habiba Touré. 

Cette réaction parue dans un communiquée qu’elle a signé fait suite aux informations livrées par le confrère Jeune Afrique.

Simone Ehivet Gbagbo, épouse de Laurent Gbagbo ancien président ivoirien s’est réjouie du rapprochement entre son compagnon et Pascal Affi N’Guessan, président contesté de leur parti, le FPI. 

Lors d’une rencontre avec les militants du parti de gauche à Abidjan, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire a indiqué que par cette rencontre, Laurent Gbagbo a « entrainé tout le FPI dans un exercice grandeur nature de réconciliation réelle ». 

Daniel Kablan Duncan vice-président de Côte d’Ivoire et Pascal Affi N’Guessan, président d’une branche du Front populaire ivoirien (FPI), parti de Laurent Gbagbo ont parlé de la situation de l’ancien président ivoirien ce jeudi 13 février 2020.

La rencontre qui a eu lieu au Palais présidentiel du Plateau à Abidjan a été le lieu pour Affi N’Guessan de plaider en faveur d’un retour en Côte d’Ivoire de l’ancien chef d’Etat acquitté en janvier 2019 par la Cour pénale internationale (CPI).

Sauf changement de dernière minute, Pascal Affi N’Guessan, président légalement reconnu du Front populaire ivoirien (FPI) va échanger avec Daniel Kablan Duncan, vice-président ivoirien le jeudi 13 février 2020. Les deux personnalités doivent s’entretenir sur la situation de Laurent Gbagbo, ex-président ivoirien en liberté sous conditions à Bruxelles dont Affi N’Guessan, qui fût le Premier ministre, souhaite le retour en Côte d’Ivoire. 

Pascal Affi N’Guessan, président contesté du Front populaire ivoirien (FPI), parti d’opposition en Côte d’Ivoire souhaite échanger avec le président ivoirien, Alassane Ouattara. 

Le candidat à l’élection présidentielle d’octobre 2015 et président de Conseil régional a indiqué lors d’une rencontre avec ses partisans en France vouloir parler avec le numéro 1 ivoirien du cas de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé en procès devant la Cour pénale internationale (CPI)