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APR NEWS : Satan 2, la réponse de la Russie face à l'OTAN

Guerre - Russie - Satan 2
Vendredi, 25 février 2022

APR NEWS : Satan 2, la réponse de la Russie face à l'OTAN

APRNEWS - Un dicton bien connu de chez nous dit: Lorsqu'un aveugle te dit qu'il va te lapider, c'est qu'il a son pied sur Caillou. Le président russe avant le lancement de son incursion en Ukraine, a menacer l'OTAN répercussions graves si jamais ils osaient vouloir intervenir pour défendre l'Ukraine.

APRNEWS - Depuis lors, les occidentaux se sont bornes jusque là annoncer des sanctions ça et là sans toutefois être capables de réagir arme à la main.

En effet, ils craignent que le président russe mettent en oeuvre les menaces qu'il clairement proféré à leur endroit.

En vérité ce qui retient les occidentaux d'une quelconque réaction armée est le missile balistique Russe surnommé "SATAN 2".

De son vrai nom RS28-SARMAT mais surnommé "SATAN 2" par les occidentaux, ce missile russe est le plus gros jamais construit.

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Le "SATAN 2" est un missile hypersonique (7 km/s) et est équipé d'une technologie furtive qui lui permet de tromper les radars de l'ennemi. Il est de même capable de frapper une cible a 10.000 kilomètres. Sachant que la Russie et les USA ne sont séparés que de 8881 kilomètres et que la France n'est qu'à 6217 kilomètres, cette capacité place tous les pays européens et plusieurs villes des Etats-Unis dans sa trajectoire.

"SATAN 2" serait équipé de 12 têtes nucléaires qui lui donnerait la capacité de détruire des pays comme la France en quelques secondes. Il aurait une charge de 40 mégatonnes ce qui le rendrait 2000 fois plus puissant qu'une bombe atomique.

"SATAN 2" est développé par la Russie depuis 2009 pour remplacer le SS-18 ou "SATAN 1". Jusqu'à présent aucun média ne pourrait nous dire s'il est entré en fonction dans l'armée russe ou non.

Ainsi, la somme de la crainte de l'utilisation de SATAN 2 et des autres missiles comme SATAN 1, Avangard, Zirkon, etc., ne donne en aucun le courage à un quelconque pays atlantiste de se frotter à la Russie. Ils se limitent donc à des condamnations et des sanctions qui reviendront comme un boomerang au visage des européens tout comme les précédentes.