La Turquie ne veut pas devenir un «hub» pour les migrants afghans voulant gagner l’Occident
Alors que les incidents se multiplient à Kaboul une semaine après la prise du pouvoir par les talibans, des milliers de personnes se pressent à l’aéroport de la capitale afghane pour tenter de quitter le pays. La Turquie, membre de l’Otan et qui participe aux évacuations, craint un afflux massif de migrants à sa frontière. Le pays de Recep Tayyip Erdogan refuse de devenir une terre de transit pour les Afghans voulant gagner un pays occidental.