À Blida, au nord de l'Algérie, les habitants attendent de recevoir de l'oxygène. Avec la crise sanitaire liée au coronavirus, les bouteilles de gaz manquent, et les soignants se trouvent en difficulté. Récemment, une société privée a promis de fournir de l'oxygène gratuitement à la wilaya.

Cette histoire est finalement devenue l’affaire de tous sur les réseaux sociaux. Il y a quelques jours un couple nommé Moro a fait une publication sur internet pour interpeller les autorités sur les mauvaises prestations de service du personnel du Centre hospitalier universitaire de Cocody (CHU-Cocody). Devenue virale sur la toile, cette affaire a été saisie par le ministère de la Santé, de l'Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle.

Pourquoi nos systèmes de santé sont-ils en désordre? Les médecins et les infirmières négligents causent de nombreux décès au quotidien.

Lorsque ma mère a été mordue par un serpent il y a quelques années au Ghana, le médecin de garde a prescrit des antipaludiques à la place du sérum anti-serpent. Lorsque nous l'avons mis en garde, il a affirmé qu'il n'y avait pas de sérum anti-serpent à l'hôpital Ridge.

L’administration d’hydroxychloroquine, ce médicament contre le paludisme tant vanté par le docteur Didier Raoult, n’améliore ni détériore de manière significative l’état de patients gravement malades du coronavirus, selon une étude publiée jeudi 7 mai, et réalisée dans des hôpitaux new-yorkais.

Dans une note dont Aprnews a reçu copie, le samedi 11 avril 2020, le ministère de la Santé et de l’hygiène publique assure que la distribution des kits sanitaires et autres kits de protection, aux établissements sanitaires d’Abidjan et des villes de l’intérieur du pays, a effectivement démarrée. 

APRNEWS- L’annonce d’une réforme hospitalière en Côte d’Ivoire suscite des craintes et des interrogations dans l’opinion publique, alors que les autorités s’emploient à rassurer les sceptiques. Au centre de la grogne : une privatisation supposée des principaux centres hospitaliers.

APRNEWS- La grève déclenchée par les médecins des hôpitaux du Zimbabwe a pris fin ce dimanche, a annoncé l’hebdomadaire d’Etat Sunday Mail.

Les praticiens avaient décidé d’entrer en grève durant un mois pour réclamer de meilleures conditions de travail et surtout l’augmentation de leurs salaires.