APRNEWS- Au Mali, le quartier général de la force conjointe du G5 Sahel a été ciblé ce vendredi 29 juin par une attaque, dans le centre du pays à Sévaré. Le bilan fait état d'au moins trois morts.

Selon plusieurs sources au sein de la force G5, l’attaque terroriste s’est déroulée au moment de la prière de ce vendredi.

APRNEWS- Le président burkinabè Roch Marc Kaboré a affirmé dimanche sur les antennes de la télévision nationale, sa volonté de briguer un second mandat lors de la présidentielle de 2020.

APRNEWS- Un conseiller municipal de Soumbella, village de la commune de Koutoukou, a été arrêté mercredi par des éléments de la gendarmerie, à Dori (chef-lieu de la région du Sahel).

APRNEWS- L'activiste Naïm Touré a été déféré à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou (MACO) après avoir été entendu par le procureur de la république le mardi.

APRNEWS- Le ministère de la sécurité burkinabè a publié mardi, une liste de 146 présumés terroristes activement recherchés.  

Ces personnes auraient participé à des opérations terroristes depuis 2016. Sur la liste figure des conseillers municipaux et un ancien militaire.

APRNEWS - A l’issue de son conseil des ministres du lundi 18 juin, le gouvernement a autorisé le ministre en charge des finances à recruter un personnel d’appoint pour assurer la continuité du service public.

Selon Rémis Djandjinou, le porte-parole  du gouvernement, ce recrutement vise à  « ne pas compromettre la continuité du service public ».

RFI - Au Burkina Faso trois attaques ont ciblé une brigade de gendarmerie, un commissariat et un poste de police. A l'est du pays, un policier a été tué dans l'attaque d'un poste de l'office national de sécurité routière. Dans la même soirée de samedi 16 juin, le commissariat de police et la gendarmerie de Comin-Yanga, à 50 kilomètres de Fada N'Gourma dans le Koulpelogo, ont essuyé des tirs. Un assaillant a été abattu au cours de cette double attaque.

APRNEWS - Au Burkina, des institutions devraient bientôt disparaitre si l’on s’en tient aux conclusions de la conférence sur la rationalisation du système de rémunération.

AFP - La justice française a réclamé mercredi des "éléments matériels précis" au Burkina Faso avant de se prononcer sur la demande d'extradition de François Compaoré, frère de l'ex-président déchu et mis en cause dans son pays dans l'enquête sur l'assassinat du journaliste Norbert Zongo en 1998.

APRNEWS- Ce mercredi 13 juin, la chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris doit statuer sur le cas de François Compaoré. Le frère de l’ancien président déchu avait été arrêté à Paris en octobre suite à un mandat d’arrêt émis par le Burkina Faso. L'homme est mis en cause dans l’enquête sur l’assassinat en 1998 du journaliste Norbert Zongo. François Compaoré refuse son extradition. Mais un élément pourrait jouer en sa défaveur : le Burkina Faso vient d’abolir la peine de mort.