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Apartheid

Décès de Frederik de Klerk, dernier président de l’Afrique du Sud de l’apartheid

L’ancien président sud-africain, Frederik de Klerk est mort ce jeudi 11 novembre, a annoncé sa fondation.

«C’est avec la plus grande tristesse que la Fondation FW de Klerk annonce le décès de l’ancien président FW de Klerk paisiblement à son domicile de Fresnaye ce matin après avoir lutté contre un cancer», a déclaré l’organisation dans un communiqué.

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Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa revient sur les violences de juillet

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa s’est exprimé sur la raison des troubles survenus dans le Kwa Zulu Natal et dans certaines régions du Gauteng en juillet dernier.

Vendredi au Parlement, il a signifié le plan d’action du gouvernement pour faire face à la situation révélatrice selon lui de défis profonds au sein de la société sud-africaine :

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Afrique du Sud : Cyril Ramaphosa soutient une campagne de suppression des statues glorifiant l'apartheid

"Les monuments glorifiant les éléments diviseurs de notre passé devraient être déplacés et repositionnés", a indiqué M. Ramaphosa dans un discours virtuel prononcé à l'occasion de la Journée du patrimoine, qui encourage les Sud-Africains à célébrer leur culture et la diversité de leurs croyances et traditions.

Ce processus passe entre autres par le changement de nom de certaines villes et l'érection de nouvelles statues et monuments, a affirmé le président.

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Afrique du Sud : De Klerk reconnait avoir "nié" la gravité de l'apartheid

Début février, Frederik de Klerk, dernier président blanc de l’Afrique du Sud (1989-1994), “a nié que l’apartheid était un crime contre l’humanité”, selon un communiqué de sa fondation.

Ces propos ont provoqué l’ire des parlementaires du parti de gauche radicale des Combattants pour la liberté économique (EFF), qui ont dénoncé la présence, le 13 février dans l’hémicycle, de M. de Klerk lors du discours annuel de la nation du chef de l’Etat Cyril Ramaphosa.

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Afrique du Sud : La gauche radicale retarde le discours sur l'état de la nation

Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a été forcé par les protestations de députés de la gauche radicale d’attendre 90 minutes avant de pouvoir prononcer jeudi devant l’Assemblée nationale son discours sur l‘état de la nation. 

Les parlementaires du groupe des Combattants pour la liberté économique (EFF) protestaient contre la présence dans la salle du parlement du dernier président du régime d’apartheid, F.W. De Klerk.

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