APRNEWS - Les Forces démocratiques alliées (ADF), présentées par l'organisation État islamique comme sa branche en Afrique centrale, sont accusées d'avoir massacré des milliers de civils en RDC et commis des attentats en Ouganda.

Depuis fin novembre 2021, les armées congolaise et ougandaise mènent des opérations conjointes pour tenter de les neutraliser.

APRNEWS - Une dizaine de rebelles des ADF ont fait incursion dans le village de Samboko, situé entre le territoire de Beni dans la province du Nord-Kivu et le territoire d’Irumu dans la province de l’Ituri, en tirant plusieurs coups de feu, et ils se sont ensuite introduits dans des maisons des civils pour commettre les massacres et ont brûlé plusieurs maisons, selon les même sources.

4 combattants de l'Allied Democratic Forces (ADF) ont péri dans des offensives des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) à Ndiva près de Nobili dans le territoire de Beni au Nord-Kivu, est de la RDC.

C'est le capitaine Antony Mualushayi, porte-parole des opérations Sokola1 qui l'indique à l'Agence de Presse Régionale. 

En dépit de l’entrée en vigueur l’état de siège depuis deux semaines dans les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri, un autre imam engagé contre le radicalisme de l’islam a été assassiné dans le territoire de Béni mardi 18 mai. Djamal Moussa qui est également président de la société civile de la localité de Mavivi a été abattu à son domicile. C’est le deuxième imam tué en ce mois de mai dans le seul territoire de Beni.

Lors de l'état de siège qui entrera en vigueur jeudi, en  République démocratique du Congo, dans les provinces de l'Ituri et du Nord-Kivu pour lutter contre les massacres de civils par des groupes armés, les autorités civiles locales seront remplacées par les Forces armées de la police nationale.

Quelque vingt-trois civils ont été tués, dans la nuit de mardi à mercredi, par des combattants présumés du groupe armé des Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région de Beni, dans l'est de la République démocratique du Congo.

Au moins douze personnes ont été tuées mardi dans des attaques menées par des membres présumés du groupe armé Forces démocratiques alliées (ADF) contre trois villages enclavés dans l'Est de la République démocratique du Congo.

A l'appel d'une organisation locale, "Veranda Mutchanga", les villes de Beni, Butembo et Oicha dans la province du Nord-Kivu (Est) ont été paralysées pour manifestant contre les massacres présentés par des groupes armés actifs dans la zone , selon des témoignages recueillis par l'AFP.

Plus de 30 corps ont été retrouvés en deux temps dans l'Est de la République démocratique du Congo, ont indiqué mardi les autorités provinciales et des experts dans la région de Beni où au moins 811 civils ont été tués depuis le 31 octobre 2019.

Les rebelles ougandais des Forces Démocratiques Alliées (ADF) ont attaqué, dans la nuit du vendredi 8 au samedi 9 mai 2020, le village Mbingi, situé dans le territoire de Beni, province du Nord-Kivu, à l'Est de la RD Congo.

Selon Kinos Katuwo, président de la société civile locale, le bilan de ces nouvelles tueries fait état de 4 civils, dont 3 hommes et une femme tués dans cette contrée située dans le groupement Batangi-Mbau, secteur Beni-Mbau.