Afrique du Sud : Jacob Zuma plaide non coupable dans l'affaire Thales
L’ex-président de l’Afrique du Sud, Jacob Zuma, accusé d’avoir reçu des pots-de-vin de la société française d’armement Thales (Thomson CSF), a plaidé non coupable.
L’ex-président de l’Afrique du Sud, Jacob Zuma, accusé d’avoir reçu des pots-de-vin de la société française d’armement Thales (Thomson CSF), a plaidé non coupable.
En février 2020, le président sud-africain avait dénoncé le processus de paix proposé par Trump et Netanyahou aux Palestiniens, qui prévoyait notamment le maintien des colonies israéliennes. Ses déclarations font écho aux manifestations qui ont eu lieu dans son pays, en soutien aux Palestiniens.
Amazon installe son siège africain au Cap, un investissement de plusieurs millions de dollars et la promesse de milliers d'emplois, mais il y a un tout petit hic: le terrain choisi est cher au cœur des Khoï San, premiers habitants de la pointe sud du continent.
L’ancien président d’Afrique du Sud, Jacob Zuma, comparaît devant la justice, lundi, à Pietermaritzburg pour des accusations de corruption en marge d’un contrat d’armements de près de 3 milliards d’euros, conclu par le géant français Thales. L’ancien chef d’État est soupçonné d’avoir empoché 235 000 d’euros de pots de vin en 1999.
Ace Magashule, 61 ans, en poste depuis 2017, avait 30 jours à compter du 31 mars pour présenter sa démission. Mais il avait choisi de conserver son poste obligeant l’ANC a prononcé sa suspension.
Une décision contestée par le sexagénaire. Alors qu’elle est présentée comme un signal fort pour le parti engagé dans une série de réformes et surtout dans la lutte contre la corruption qui ne cesse de ternir son image depuis des années, estime l’ONG corruption Watch.
En Afrique du Sud, la question de la succession du roi des Zoulous, mort le 12 mars dernier se pose avec acuité, surtout après le décès subit, le 30 avril 2021, de sa grande épouse, la reine Shiyiwe Mantfombi Dlamini Zulu, qui assurait la régence. Les appétits sont aiguisés, ouvrant la porte à une guerre de succession.
La décision prise dimanche par le gouvernement sud-africain vise à promouvoir une chasse responsable selon les propositions d’un comité d’experts.
Cyril Ramaphosa, le président sud-africain mais aussi celui du parti historique au pouvoir, l'ANC, a reconnu mercredi que son parti aurait pu contrer davantage la corruption rampante sous son prédécesseur Jacob Zuma.
Ces images du verdict du procès de Derek Chauvin, l'officier américain responsable du meurtre de George Floyd ont fait le tour de la planète. Reconnu coupable, il risque 40 ans de prison.
L'Afrique du Sud mène de toutes dernières consultations avant la reprise des injections de vaccin Johnson & Johnson, suspendues il y a tout juste une semaine, a assuré mardi le ministre sud-africain de la Santé, après la recommandation en ce sens de l'agence des médicaments.