Le président du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, qui va être réinvesti vendredi pour un nouveau mandat de cinq ans, a promis de diversifier l'économie de son pays pour sortir du tout-pétrole par l'agriculture, avec pour autre défi l'industrie et la relance du chemin de fer.

Guy-Brice Parfait Kolelas, l’opposant direct de Denis Sassou Nguesso à la présidentielle au Congo-Brazzaville est décédé dimanche des suites du Coronavirus lors de son transfert en France. L’homme avait été mis sous assistance respiratoire après avoir été testé positif à la Covid-19 le vendredi dernier. Guy-Brice Parfait Kolelas faisait partie des candidats à la présidentielle de mars 2021 contre le président sortant Denis Sassou Nguesso qui brigue un quatrième mandat consécutif.

La campagne électorale bat son plein sans Michel Mboussi Ngouari dont la candidature a rejeté par la Cour constitutionnelle. L’élection présidentielle du 21 mars prochain approche à grand pas et les populations s’inquiètent de plus en plus à cause de cette décision. La Cause, l’institution lui reproche de n’avoir déposé de « certificat médical et d’une déclaration de moralité fiscale » comme les autres candidats en lice dans la course à la présidentielle, selon Tv5 monde.

Pascal Lissouba est décédé, en début de matinée le 24 août, à Perpignan, dans le sud de la France, a confirmé à Jeune Afrique la famille de l’ancien président congolais.

Son épouse, Jocelyne, et son fils, le député Jérémie Lissouba, se trouvaient à ses côtés. Il était âgé de 88 ans.

APRNEWS - Un centre de traitement traitement  des boues provenant  des hydrocarbures verra le jour dans quelques mois en Afrique centrale, plus précisément au Congo-Brazzaville.

APRNEWS - Le président Dénis Sassou Nguesso aurait-il échappé à un coup d’Etat ? 

A en croire les médias congolais, deux généraux en l’occurrence, Ngatsé Nianga Mbouala et Norbert Dabira auraient échafaudé un projet de coup d’Etat contre le président congolais. 
Ils avaient en commun le dessein d’abattre l’avion du chef de l’Etat au retour d’Oyo, son fief.

APRNEWS- Vexée par les cachotteries des dirigeants congolais, Christine Lagarde, la directrice du FMI avait donné le ton : livre ouvert, chiffres clairs et dette publique transparente.

Cette fois-ci Sassou doit se garder de faire un bis repetita, comme depuis une décennie. Le moins qu’on puisse dire, c’est la dernière chance offerte à son régime avant le solde tout compte.