La secrétaire à la Défense, Judith Collins, a qualifié le cyber espionnage visant les institutions et les processus démocratiques, d'inacceptable.
Le gouvernement néo-zélandais a annoncé que des pirates informatiques liés à la Chine étaient à l'origine de cyberattaques contre le parlement du pays en 2021.
La ministre de la Défense, Judith Collins, a évoqué mardi dans un communiqué les cyberattaques qui ont visé certaines unités du Parlement en 2021.
Collins a souligné que les attaques étaient liées à un groupe de hackers soutenu par la Chine appelé « APT40 », confirmant que les attaques avaient été repoussées dans un court laps de temps.
Elle a ajouté : "Mener des opérations d'espionnage électronique pour interférer dans les institutions et les processus démocratiques est inacceptable."
Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères Winston Peters a déclaré dans un communiqué avoir fait part des préoccupations de la Nouvelle-Zélande sur cette question à l'ambassadeur de Chine à Wellington, Wang Xiaolong.
Peters a souligné qu'une telle ingérence extérieure était inacceptable, soulignant qu'il avait appelé la Chine à s'abstenir de telles activités à l'avenir.
A noter qu'il n’y a eu aucun commentaire chinois immédiat sur ce qui a été rapporté par le gouvernement néo-zélandais.
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