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Rebelles

Éthiopie: le gouvernement poursuit son avancée dans le nord du pays

Le gouvernement du Premier ministre éthiopien Abiy Ahmed assure, ce lundi 6 décembre, avoir repris les villes de Dessie et Kombolcha, deux agglomérations de plus de 200 000 habitants. Alors que les rebelles tigréens du TPLF se trouvaient à 180 km de la capitale Addis-Abeba, il y a dix jours, ils ont entamé un retrait vers la région du Tigré. Le parti tigréen du TPLF a qualifié ce retrait de « réajustement territorial ».

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RDC : au moins 18 morts dans une attaque des ADF à Beni

Au moins 16 civils ont été tués dans la nuit de mercredi à jeudi par des rebelles du groupe Forces démocratiques alliées (ADF) dans la région de Beni dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). "Au moins 16 civils ont été tués dans les villages de Mayele, Kalembo et Toya (territoire de Beni, Nord-Kivu). Les ADF sont soupçonnées", a annoncé sur Twitter le groupe d'experts du Baromètre sécuritaire de Kivu (KST).

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Conflit au Tigré: les rebelles et le gouvernement éthiopien répondent aux pressions américaines

Le président américain Joe Biden a signé, vendredi 17 septembre, un décret autorisant d'imposer des sanctions contre les belligérants du conflit en Éthiopie. Ce ne sont pas encore des sanctions à proprement parler, mais un dispositif permettant de les déclencher en cas d'absence de progrès sur le terrain. Dimanche, la rébellion tigréenne et le Premier ministre éthiopien lui ont répondu.

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Éthiopie: l'offensive rebelle au Tigré ignore le cessez-le-feu déclaré par Addis-Abeba

La région du Tigré est en pleine recomposition après une offensive menée par les rebelles tigréens. Ils ont récupéré la capitale provinciale Mekele ce lundi 28 juin. Et les autres villes de la région dans la journée de ce mardi, profitant du retrait des armées éthiopiennes et érythréennes. Le gouvernement fédéral a annoncé un cessez-le-feu unilatéral, pour l’instant toujours ignoré par les forces tigréennes.

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Centrafrique : l'ONU accuse l'armée et ses alliés russes de violer les droits humains

Selon l'ONU, les groupes rebelles ne représentent plus la seule menace pour les populations civiles et le bon déroulement de la mission de maintien de la paix en Centrafrique. Les forces armées et les paramilitaires russes qui les soutiennent seraient également responsables de l'instabilité qui règne dans le pays.

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