Mali: Amnesty International dénonce une "répression sanglante" des manifestations
Dans son communiqué, Amnesty Internationale note que "des agents de sécurité et des policiers ont tiré à balles réelles sur les manifestants, tuant quatre personnes" le 11 juillet devant le domicile de l'Imam Mahmoud Dicko.
L'ONG affirme également que plusieurs personnes ont été tuées par des balles perdues alors qu'elles ne participaient pas aux manifestations. Elle cite le cas d'un homme de 25 ans atteint dans une mosquée et celui d'un laveur de voitures de 21 ans.