Libéré le 17 juillet dernier, après 9 mois de détention à la maison centrale de Conakry, le régime de semi-liberté accordé à l’ancien président de la délégation spéciale de Kindia a été révoqué.

Selon son avocat Me Salifou Béavogui que nous avons contacté ce lundi, Abdoulaye Bah a de nouveau été conduit à la maison centrale de Conakry, après avoir répondu à une convocation du département de la Justice.

Le 6 mars prochain les électeurs ivoiriens sont appelés aux urnes pour élire leurs députés. Le point au moment où s’ouvre la campagne.

Des milliers de manifestants descendaient, lundi 8 février, pour la troisième journée consécutive dans les rues en Birmanie pour protester contre le coup d'État qui a renversé Aung San Suu Kyi. Il y avait notamment des travailleurs répondant à l'appel à la grève générale et rejoignant la fronde.

Après le putsch des militaires, un mouvement de résistance commence à émerger. Pas de grandes manifestations dans les rues, mais le mouvement, très relayé sur les réseaux sociaux, vise à exprimer pacifiquement l'opposition au régime militaire. Un groupe nommé « le mouvement de désobéissance civile » a été lancé sur Facebook et comptait ce mercredi matin 3 février près de 150 000 abonnés.

Le secrétaire exécutif du Parti Démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI-RDA), Maurice Kacou Guikahué a été libéré et mis sous contrôle judiciaire, a annoncé Me Suy Bi Émile, l'un des avocats du parti.

Dans un article intitulé "Côte d’Ivoire : Emmanuel Macron face au spectre d’un grand califat africain", publié le jeudi 12 novembre 2020, sous la plume d’Yves Thréard, le quotidien français, Le Figaro reprend tristement à son compte, point par point, une panoplie de contrevérités totalement en décalage avec la réalité de la situation socio-politique en Côte d’Ivoire.

La Gendarmerie Nationale entame un processus de recherche après les évènements de la période électorale d’octobre 2020. Des évènements au cours desquels l’on assisté à des actes de violences dus au d’ordre de désobéissance civile lancé par les partis et groupements politiques de l’opposition.

La violence gagne de plus en plus du terrain sur le sol ivoirien.

Au lendemain du scrutin présidentiel en Côte d'Ivoire, l'opposition annonce qu'elle ne reconnaît pas cette élection et constate la fin du mandat du président Ouattara.

À quelques heures de la proclamation des premiers résultats provisoires de l'élection présidentielle de ce samedi 31 octobre 2020, lex-première dame de Côte d'Ivore, Madame Simone Ehivet Gbagbo comme Affi N'guessan, affiche son désaccord vis-à-vis du scrutin présidentiel.

Elle affirme que la Côte se retrouve dans une situation de "vacance du pouvoir présidentiel". Voici un extrait dans sa déclaration. 

"Mes chers compatriotes