L'Afrique subsaharienne devrait connaître une hausse de son produit intérieur brut (PIB) de 2,7% en 2021, après une chute de 3,7% en 2020, selon des prévisions publiées mardi par la Banque mondiale.
 

La croissance de 2021 devrait donc représenter un rebond de moindre envergure après une année 2020 très difficile pour la région, qui a connu l'année dernière sa première récession en 25 ans.

La Banque mondiale a approuvé une enveloppe de 400 millions de dollars destinée à soutenir le système de protection sociale du Maroc et qui s’inscrit, plus largement, dans le cadre du vaste programme de réformes engagé par les autorités en vue d’étendre les filets sociaux, indique un communiqué de l’institution de Bretton Woods.

La première économie africaine, le Nigeria, subit de plein fouet la baisse des prix du pétrole sur le marché mondial. Le pays est officiellement entré en récession pour la deuxième fois depuis 2016 après que son produit intérieur brut (PIB) s’est contracté pour le deuxième trimestre consécutif, selon les nouvelles données publiées par l’Office national de statistique samedi 21 novembre.

La Banque mondiale a approuvé cette semaine un financement de 200 millions $ dans le cadre du Projet pour la valorisation des investissements dans la vallée de la Bénoué, au Cameroun. Les fonds serviront notamment à améliorer les infrastructures d’irrigation et moderniser les institutions.

C'est une première : la publication du rapport « Doing Business » de la Banque mondiale a été suspendue à la suite « d'irrégularités ».

L’affaire fait l’objet de correspondances intenses entre la Banque Mondiale et les institutions marocaines concernées.

Le Conseil d’administration du Groupe de la Banque mondiale a approuvé un crédit de 315 millions de dollars, soit 157,5 milliards de francs CFA à la Côte d’Ivoire pour prévenir les risques d’inondation et améliorer la qualité de gestion des déchets solides à Abidjan et les grandes villes du pays, rapporte un communiqué transmis à l’AIP.

L’institution financière a approuvé mercredi un prêt d’un milliard de dollars pour aider le Kenya à combler son déficit budgétaire et à faire face aux chocs économiques liés à la pandémie de coronavirus.

Ce prêt, initié avant le début de la crise sanitaire, est le deuxième approuvé par la Banque mondiale pour le budget, après le premier accordé l’année dernière.

Ce prêt contribuera selon la Banque mondiale à combler le déficit de financement généré par le choc sévère et permanent subi par l‘économie kényane.

Le nouveau coronavirus (Covid-19) a déjà fait de nombreuses victimes et cette flambée épidémique est traitée pour ce qu’elle est : une urgence de santé publique de portée internationale. Alors que le virus se propage dans le monde, tout l’enjeu est de savoir comment préserver les vies humaines et atténuer les préjudices économiques.

Entre le capitalisme libéral et le capitalisme dirigiste, une alternative, surnommée « capitalisme pour le bien commun », se construit à travers le monde. Les entreprises africaines ont un rôle crucial à jouer dans cette marche nouvelle vers le progrès.