Après avoir passé le week-end en Ituri, le Premier ministre congolais Sama Lukonde était lundi dans le nord-Kivu, deux régions sous l'état de siège depuis mai.

Cependant, l'insécurité imposée par les groupes rebelles est en croissante recrudescence. À Béni, province de l'est, les victimes se compte par centaine. Cette visite visait à apporter un soutien à l'état de siège sous le feu des critiques.

La Tchad a retiré 600 soldats de la force du G5 Sahel sur les 1 200 déployés en février, a annoncé samedi le gouvernement tchadien. Cette décision a été prise pour des raisons "stratégiques", "pour s'adapter au mieux à l'organisation des terroristes", a expliqué Abderaman Koulamallah, le porte-parole du gouvernement.

L'armée sud-africaine déploie des troupes au Mozambique pour combattre l'insurrection.

Le 28 juillet, l’Afrique du Sud annonçait qu’elle allait envoyer environ 1500 soldats à Pemba pour réprimer les insurgés qui ont causé la mort de plus de 3000 personnes.

Cette aide intervient dans le cadre du soutien régional apporté par le bloc de la communauté de développement de l’Afrique australe SADC.

150 otages ont été libérés, a annoncé mardi l'armée de la République démocratique du Congo. La libération de ces familles s'est faite après trois jours d'affrontements contre les Forces démocratiques alliées (ADF) dans le nord-est du pays.

7 soldats et 15 membres d'un groupe armé sont morts dans les combats. Les otages auraient été utilisés comme boucliers humains, a annoncé le gouverneur militaire de la région et lieutenant général Johnny Luboya.

Jérusalem se prépare à un possible échec des négociations indirectes entre les États-Unis et l'Iran à Vienne.

L'armée israélienne a demandé au gouvernement une importante augmentation de son budget de plusieurs milliards de shekels, afin de pouvoir se préparer correctement à une éventuelle attaque contre le programme nucléaire iranien.

Dans ce centre de santé de Kesra, un petit village en Tunisie, des soldats fusils en main gardent l'entrée. Pendant ce temps à l'intérieur, d'autres militaires administrent des vaccins aux personnes âgées.

La tension est restée vive lundi soir en Afrique du Sud au 4e jour des violences sociales. Face au chaos provoqué par les manifestants dans plusieurs villes du pays, l’armée a été appelée en renfort par le président sud-africain qui a condamné l’escalade en cours.

L'armée a été appelée lundi pour contenir les violences en Afrique du Sud, au quatrième jour de violences initialement déclenchées par l'emprisonnement de l'ancien président Jacob Zuma et qui ont déjà fait au moins dix morts.

Des incidents ont éclaté vendredi en pays zoulou, dont M. Zuma est originaire et où il a été incarcéré après avoir été condamné à 15 mois pour outrage à magistrat.

Un avion militaire transportant 92 personnes s'est écrasé, dimanche, dans le sud des Philippines, a déclaré le chef des forces armées. Quarante-cinq personnes sont mortes dans l'appareil en feu, un C-130, qui s'est écrasé alors qu'il tentait d'atterrir sur l'île de Jolo. 

Le royaume d'Eswatini, dernière monarchie absolue d'Afrique, a annoncé mardi l'instauration d'un couvre-feu tandis que l'armée a été déployée pour réprimer des manifestations pro-démocratie de la jeunesse.