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Assassinat : un mari immole sa femme

Assassinat : un mari immole sa femme - Actualité - Fait divers
Lundi, 10 mai 2021

Assassinat : un mari immole sa femme

Le 5 mai à Mérignac, une mère de famille a été immolée en pleine rue par son conjoint. L'avocat Gilles-William Golnadel fustige l'indulgence dont a bénéficié le meurtrier et s'étonne de l'incapacité de certains à mettre le doigt sur les raisons qui ont conduit à ce drame.

Il y a six jours, une femme a été brûlée vive en public à Mérignac. Cette immolation exceptionnelle autant qu'emblématique aurait dû imposer à la société française un questionnement sans fard. Le 4 mai, Chahinez, 31 ans, mère de trois enfants, a en effet été immolée en pleine rue de Mérignac par son concubin, Mounir Boutaa, un Franco-Algérien qu'elle avait rencontré en Algérie. Cet homme est un dangereux délinquant récidiviste, condamné à sept reprises, notamment pour violences avec usage d'une arme, vol avec destruction ou dégradation et violences sur son conjoint en présence d'un mineur.

L'article éclairant de Margaux d'Adhémar dans le Figaro rapporte des informations de source judiciaire : «Elle voulait vivre en France comme une Française, mais son mari n'était pas de cet avis. Il voulait une algérienne comme en Algérie. Elle n'était pas très libre, elle voulait sortir dans des cafés, porter des jeans, mais lui ne voulait pas. C'était quelqu'un d'assez autoritaire, qui montrait clairement qu'il n'avait pas peur de la police et de la justice».

Le drame horrible est emblématique : La violence contre les femmes, radicale. Le fossé culturel, béant. La faillite judiciaire, totale.

Par un surmoi faiblissant qui fait de la résistance, nul n'a d'abord vraiment osé mettre en question la question quotidiennement récurrente de l'immigration ratée. Ratée pour cause d'intégration, elle-même ratée pour cause d'immigration massive et imposée de force au peuple français. On ne dira jamais assez les ravages de cet antiracisme raciste anti-français, qui préparait la racisation des minorités à venir. Le mari de Chahinez est un produit d'importation de ce mépris de la société française. La malheureuse Chahinez, qui voulait vivre en Française, en est morte sur le bûcher.

Aprnews avec le Figaro