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8 traditions sexuelles qui comptent parmi les plus étranges du monde

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Jeudi, 21 juin 2018

8 traditions sexuelles qui comptent parmi les plus étranges du monde

APRNEWS- Se faire couper le pénis, partager sa femme ou encore boire le sperme des anciens. Ces étranges pratiques sexuelles semblent sortir tout droit d’un roman érotique mais existent bel et bien dans notre société. À travers différentes civilisations, on vous fait découvrir ces 8 traditions sexuelles intrigantes.

Les pharaons pratiquaient la masturbation en public

Selon les croyances égyptiennes, les remous et les marées du Nil étaient provoqués par Atum, le dieu de la création, pendant qu’il se masturbait. Se masturber en public était donc considéré comme un acte de foi envers les dieux, ce qui inspira les pharaons égyptiens, qui continuèrent cette pratique dans le Nil pour que l’eau coule en abondance.

Les Trobriandais : la tribu du Pacifique où les enfants ont leurs rapports sexuels à 6 ans

Dans cette tribu de l’île de Kiriwina, les habitants commencent à avoir des relations sexuelles à un très jeune âge, 6 à 8 ans pour les filles et 10 à 12 ans pour les garçons. C’est une pratique acceptée et un rituel ancestral de cette tribu.

Partager la même femme en Himalaya

De nombreuses sociétés polygames pratiquent la « polygamie fraternelle » où les frères d’une même famille partagent la même femme. Cette pratique est due au fait que, dans cette tribu népalaise, la terre disponible pour l’agriculture est divisée entre chaque famille. Ainsi, moins il y a de familles, plus les parcelles de terres seront grandes, d’où l’intérêt de partager sa femme. D’après une étude menée par National Geographic, cette méthode est efficace lorsque les femmes ont un emploi du temps équitablement réparti entre les frères.

Boire le sperme des anciens du groupe

Pour devenir un homme dans la tribu des Sambias, en Papouasie-Nouvelle-Guinée, les garçons sont séparés des femmes à l’âge de 7 ans, et ce, jusqu’à leurs 17 ans. Pendant ce temps, leur peau est percée pour « enlever toutes les contaminations qui sont apportées par les femmes ». Ils doivent boire le sperme des aînés, ce qui leur apportera croissance et force.

Au Niger, les hommes de cette tribu se volent les femmes entre eux

Dans la tribu des Wodaabes, les hommes sont réputés pour voler les femmes des autres membres. Pendant l’enfance, ils doivent se marier avec leur cousine. Cependant, chaque année, au festival de Gerewol, les hommes se maquillent et dansent pour impressionner les femmes en espérant en voler une autre pour échapper à la leur. Si le nouveau couple parvient à s’éclipser discrètement du festival et à échapper au mari actuel de le femme, ils sont alors socialement acceptés dans la tribu. Ces mariages sont alors appelés « mariages d’amour ».

Se faire couper le pénis pour devenir un homme, bienvenue chez les Mardudjara

Dans la tribu aborigène des Mardudjara, les jeunes garçons doivent avaler leur pénis après avoir subi une circoncision. Une fois le pénis cicatrisé, on l’incise sur sa longueur par en dessous ; incision pouvant parfois aller jusqu’à l’anus. Le sang récolté est ensuite versé au-dessus du feu pour le purifier.

La retenue sexuelle

A Mangaia, une petite île dans le Pacifique Sud, les garçons ont des rapports sexuels avec des femmes plus âgées dès l’âge de 13 ans. Celles-ci ont pour mission de leur enseigner la retenue pour qu’ils apprennent à mieux retarder le moment de l’éjaculation afin de pouvoir, par la suite, augmenter les chances que les femmes qu’ils rencontrent atteignent leur plaisir.

Le modèle parental des îles Marquises

Enfin, dans les îles Marquises, il est de bon conseil et même recommandé de regarder ses parents faire l’amour.

 
Avec Afrique Femme