Stoni souligne l'importance de critères clairs et transparents dans la sélection des Miss, critiquant les incohérences récurrentes observées au sein du COMICI. Il remet en question l'envoi des premières dauphines à l'étranger au lieu des Miss élues, mettant en avant des frustrations et une possible partialité dans le processus de sélection. Le blogueur critique le favoritisme envers des candidates dociles plutôt que charismatiques et compétentes, soulignant que les Miss sont des icônes nationales et non des pions manipulables. Stoni exprime des inquiétudes quant à la perte de confiance du public, qui attend que Miss Côte d'Ivoire incarne véritablement les valeurs et l'excellence du pays, soulignant ainsi un désir de réforme et de transparence dans le concours de beauté.
Le Blogueur Stoni s’adresse également au COMICI
Au comité d’organisation, je veux dire ceci :
Quand on parle d’excellence de la beauté ivoirienne, il faut se montrer cohérent.
Les critères doivent être clairs, respectés, assumés.
Cela fait trop d’éditions que les premières dauphines partent à l’international à la place de la Miss elle-même. Trop d’incohérences. Trop de frustrations.
Et on commence à avoir le sentiment qu’on choisit des Miss plus faciles à diriger que capables de diriger.
Plus obéissantes que charismatiques.
Mais une Miss, ce n’est pas un pion.
C’est une ambassadrice, une voix, une icône.
Le peuple ne demande pas la perfection.
Il demande juste de croire au rêve qu’on lui vend.
Et aujourd’hui, beaucoup ne s’y reconnaissent plus.
Que Dieu nous éclaire.
Vive la Côte d’Ivoire.
Stoni met en avant l’importance de règles claires et transparentes pour la sélection des Miss, critiquant les incohérences récurrentes observées au fil de plusieurs éditions.
Il soulève des préoccupations concernant l’envoi des premières dauphines pour représenter la Côte d’Ivoire à l’étranger, au lieu des Miss élues, suscitant ainsi des frustrations et remettant en question l’équité du processus de sélection.
Le blogueur critique le COMICI pour favoriser des candidates dociles plutôt que des femmes charismatiques et capables de remplir le rôle d’ambassadrices. Il souligne que les Miss sont des icônes nationales et non des pions manipulables, mettant en avant leur impact symbolique. Stoni met en garde contre la perte de confiance du public, qui se sent de plus en plus éloigné d’un concours qui ne tient plus ses promesses d’excellence et de rêve.
Ces critiques font écho à des polémiques récurrentes autour des concours de beauté en Afrique, où les sélections sont parfois accusées de favoritisme ou de manque de professionnalisme. Le ton de Stoni reflète une attente forte : que Miss Côte d’Ivoire incarne réellement les valeurs et l’excellence du pays.