
APRNEWS: Et c’est reparti! L’article 48 après le « Et » et le « Ou »
Assalé Tiémoko soulève une série de problèmes sociaux et politiques variés, tels que l'expropriation des terres, la fraude, le chômage, la corruption, et bien d'autres, en les associant tous à l'article 48. Il met en garde contre un scénario chaotique récurrent qui se répète tous les dix ans et se demande si les Ivoiriens tomberont à nouveau dans le piège.
Et c’est reparti! L’article 48 après le « Et » et le « Ou »
-Quelles solutions contre l’expropriation des terres? Article 48.
-Quelles solutions contre la fraude sur la nationalité ? Article 48.
-Quelles solutions contre le chômage ? Article 48.
-Quelles solutions contre l’orpaillage clandestin ? Article 48.
-Quelles solutions contre la corruption ? Article 48.
-Quelles solutions contre la division du peuple? Article 48?
-Quelles solutions contre la perte de confiance des populations dans les institutions de la république ? Article 48.
-Quelles solutions contre l’immigration incontrôlée? Article 48.
-Quelles solutions contre la vente des concours publics ? Article 48
-Quelles solutions contre l’effondrement du niveau scolaire? Article 48
-Quelles solutions contre le trafic du cacao? Article 48
-Quelles solutions contre la cherté de la vie? Article 48
-Quelles solutions contre l’administration politisée? Article 48.
-Quelles solutions contre les surfacturations? Article 48.
-Quelles solutions contr les bourses estudiantines non payées ? Article 48
-Quelles solutions contre le surpeuplement d’Abidjan ? Article 48.
-Quelles solutions contre la centralisation de l’Etat ? Article 48.
-Quelles solutions contre la liste électorale truffée de faussaires? Article 48.
-Quelles solutions contre les injustices sociales? Article 48.
-Quelles solutions pour la diaspora qui a perdu confiance? Article 48
-Quelles solutions pour les 11 millions de pauvres ? Article 48
-Quelles solutions contre l’effondrement des valeurs morales? Article 48.
-Etc.
Il y a deux ans, sur un plateau de télé, je prévenais contre ce qui ce passe en ce moment. Tous les dix ans, c’est le même scénario chaotique.
Les Ivoiriens se laisseront-ils encore prendre au piège ?
ASSALE TIÉMOKO
Dans un contexte où la Côte d’Ivoire fait face à de nombreux défis socio-économiques, l’article 48 apparaît comme une lumière d’espoir pour aborder des problématiques urgentes. À travers cette réflexion, nous examinerons les solutions potentielles que cet article pourrait apporter face à des questions cruciales.
L’expropriation des terres :
L’article 48 doit garantir la protection des droits fonciers pour éviter les abus. Des mécanismes de compensation équitables et transparents doivent être mis en place pour rassurer les agriculteurs et planteurs.
La fraude sur la nationalité :
Pour contrer ce fléau, il est essentiel de renforcer les contrôles administratifs tout en promouvant une sensibilisation sur l’importance de la nationalité ivoirienne.
Le chômage :
Favoriser le développement d’initiatives entrepreneuriales par des incitations fiscales et un soutien accru aux PME, créant ainsi des emplois durables.
L’orpaillage clandestin :
Des campagnes de sensibilisation associées à une régulation stricte peuvent dissuader cette pratique nuisible tout en offrant des alternatives économiques viables aux orpailleurs.
La corruption :
Il est impératif d’instaurer une justice indépendante qui sanctionne sévèrement les actes de corruption et promeut la transparence dans la gestion publique.
La division du peuple :
L’article doit encourager le dialogue intercommunautaire pour renforcer la cohésion sociale et promouvoir l’unité nationale au-delà des différences ethniques ou politiques.
La perte de confiance dans les institutions :
Pour restaurer cette confiance, il faut garantir l’intégrité des processus électoraux et promouvoir une gouvernance participative impliquant tous les citoyens.
L’immigration incontrôlée :
Des politiques migratoires claires doivent être mises en œuvre pour gérer efficacement les flux migratoires tout en respectant les droits humains.
La vente des concours publics :
La mise en place d’un système transparent et vérifiable pour l’organisation des concours peut réduire considérablement ce problème.
L’effondrement du niveau scolaire :
Investir dans l’éducation avec un accent sur la formation continue des enseignants est essentiel pour améliorer le système éducatif ivoirien.
Alors que nous faisons face à ces défis récurrents tous les dix ans, il est primordial que chaque citoyen s’engage activement dans ce processus afin de ne pas se laisser piéger par le cycle du chaos politique et social qui semble se répéter inlassablement. Les solutions existent ; il appartient désormais à chacun de jouer son rôle dans leur mise en œuvre efficace au bénéfice de notre chère Côte d’Ivoire.