APRNEWS: BalthasarGate « Je veux divorcer » sa sextape est sur les réseaux sociaux
Cette histoire démontre, selon plusieurs analystes, que la fidélité et la clarté sont fondamentales pour la réussite d'un couple. En Guinée Equatoriale, un scandale politico-sexuel digne du 7e art mettant en cause un haut fonctionnaire est actuellement le sujet phare des médias et en top des tendances sur les réseaux sociaux. Les autorités limogent finalement le haut fonctionnaire qui défraie la chronique.
Samantha Geminta : est-elle une victime ou une interprète dans l’industrie du film pour adultes ?
Une série de vidéos sur TikTok et Instagram, où Samantha Geminta se montre dans des ébats intimes scandalisé la toile
La vidéo controversée de Madame Balthazar attire l’attention après celle de son époux
Samantha Geminta demandait le divorce
La réaction de Samantha n’a pas tardé. Selon certaines sources proches, elle se serait confiée sur son envie de divorcer, encouragée par ses proches. Elle aurait même déclaré : « Nos enfants le détestent, je veux divorcer. »
Elle qui souhaitait divorcer après les révélations sur l’infidélité de Balthazar , cette diffusion inattendue place le couple dans une impasse médiatique
Bello Balthazar est accusé d’avoir été enregistré dans des situations avec plusieurs femmes, sans avoir pris de protections.
Surnommé Bello en raison de son physique avantageux, Ebang Engonga – qui est marié – a été filmé en train d’avoir des relations sexuelles avec les partenaires de plusieurs autres fonctionnaires. Certaines de ces rencontres intimes ont eu lieu au sein du ministère des finances.
Le père de M. Engonga est considéré par certains comme un candidat possible. Le scandale pourrait faire l’affaire de son rival, le vice-président de la Guinée équatoriale, qui se trouve être le fils de l’actuel dirigeant.
Désormais, sa conjointe est confrontée à une tempête de critiques et d’avis en ligne.
Au moment des faits , son épouse Samantha Gemita (qui lui a donné six beaux enfants) était inconsolable
Suite au tollé provoqué par les vidéos, le procureur général de Guinée équatoriale, Anatolio Nzang Nguema, a déclaré à la télévision publique que si M. Engonga s’avérait avoir été « infecté par une maladie sexuellement transmissible », il serait poursuivi pour infraction à la loi sur les droits de l’homme et les libertés fondamentales.
Sur sa page Facebook, M. Engonga a fait part de sa tristesse, accompagnée d’une photo de lui en compagnie d’une femme et d’enfants, légendée : « La famille, c’est tout ».