
APRNEWS: Assalé Tiémoko tacle le journaliste Saïd Penda dans le dossier Komê
Said Penda a affirmé que la "Procuration Spéciale" permettant à Komé Bakary d'exproprier des terres est authentique, après l'avoir fait authentifier par des autorités judiciaires. Cependant, une vérification ordonnée par le tribunal de Plateau a révélé que ce document n'existe pas. Le magistrat censé l'avoir signé nie l'avoir jamais validé. Ainsi, ce faux a permis à Komé Bakary de s'approprier 272 lots à Bessikoi, spolions des familles de leur patrimoine. Nous attendons que Said Penda identifie les magistrats qui auraient authentifié ce document qu'il utilise contre le fondateur du journal "L'Éléphant Déchaîné". En présentant un faux comme authentique, il s'est rendu coupable de manipulation de l'opinion publique.
Ce qui est faux est faux!
Mon confrère, Said Penda, une main sur le coeur et l’autre main posée sur le Coran, a affirmé, sans craindre la colère de Dieu, que cette « Procuration Spéciale » par laquelle Komé Bakary a exproprié des familles et des acquéreurs de leurs terres, est authentique.
Il a juré avoir fait authentifier ce document auprès hautes autorités de la justice.
Cependant, une vérification approfondie des registres, ordonnée par la présidente du tribunal de première instance de Plateau, a révélé l’inexistence de cette procuration.
Le magistrat mentionné comme signataire, aujourd’hui conseiller du ministre de la justice, nie catégoriquement avoir jamais paraphé un tel document.
Il s’agit donc d’un faux qui, pendant huit ans, a permis à Komé Bakary de s’approprier 272 lots du lotissement de Bessikoi (DJOROGOBITE-2), spoliant ainsi des familles entières de leur patrimoine immobilier.
Nous attendons désormais que Said Penda nous éclaire sur l’identité de ces hauts magistrats auprès desquels il affirme avoir authentifié ce document, utilisé par lui dans de nombreuses publications et vidéos avec des injures contre le fondateur du journal « L’Éléphant Déchaîné « .
En présentant ce faux comme authentique, le confrère s’est rendu coupable de blanchiment et de recel de faux, dans le but de manipuler l’opinion publique.
ASSALE TIÉMOKO ANTOINE
JOURNALISTE D’INVESTIGATION.
Dans un climat où la vérité et l’intégrité sont souvent mises à l’épreuve, l’honorable Assalé Tiemoko Antoine, député de la nation et journaliste d’investigation, a récemment pris position contre son confrère Saïd Penda. Cette confrontation fait suite à des allégations concernant une « Procuration Spéciale » prétendument authentique, utilisée par Komé Bakary pour exproprier des familles de leurs terres.
Saïd Penda a affirmé avec conviction que ce document avait été validé par des autorités judiciaires compétentes. En posant une main sur le cœur et l’autre sur le Coran, il a juré avoir obtenu cette confirmation auprès de hauts magistrats. Cependant, les récents développements dans cette affaire soulèvent de sérieuses questions sur la véracité de ces affirmations.
Une enquête approfondie ordonnée par la présidente du tribunal de première instance de Plateau a révélé que la fameuse procuration n’existe pas dans les registres judiciaires. De plus, le magistrat censé avoir signé ce document — aujourd’hui conseiller du ministre de la justice — a catégoriquement nié toute implication dans sa création. Cela soulève des inquiétudes quant à l’authenticité du document qui aurait permis à Komé Bakary d’acquérir 272 lots dans le lotissement controversé de Bessikoi (DJOROGOBITE-2), au détriment de nombreuses familles spoliées.
Dans un contexte où les médias jouent un rôle crucial dans la formation de l’opinion publique, il est impératif que les journalistes agissent avec rigueur et responsabilité. En présentant un faux comme un document authentique, Saïd Penda pourrait être accusé non seulement d’avoir trompé ses lecteurs mais aussi d’avoir participé à une manipulation délibérée des faits.
Désormais, tous les regards se tournent vers Saïd Penda pour qu’il clarifie ses sources et révèle l’identité des magistrats auprès desquels il aurait prétendument fait authentifier ce document. La transparence est essentielle dans cette affaire qui touche directement aux droits fondamentaux des citoyens concernés.
Cette situation met en lumière les enjeux cruciaux autour de la véracité journalistique et rappelle que « ce qui est faux est faux ». Il appartient désormais aux acteurs impliqués — journalistes comme responsables judiciaires — d’œuvrer pour rétablir la vérité et protéger les droits des individus face à toute forme d’abus.