APRNEWS: Sextape Gate – Baltasar Ebang Engonga, l’homme le plus célèbre de Guinée-Equatoriale
Le Vice President convoque les responsables des télécommunications
Plus de 400 sextapes de Baltasar Ebang Engonga circulent sur les réseaux sociaux
S.E Nguema Obiang Mangue a rencontré les responsables du ministère des Transports, des Télécommunications et des Systèmes d’Intelligence Artificielle, dont le ministre Honorato Evita Oma. Des représentants du GITGE, ORTEL, GETESA, MUNI, de la Gendarmerie et de la Police Nationale ont également participé à la réunion.
Lors de la réunion, le vice-président a donné au ministère des Transports un délai de 24 heures pour arrêter la diffusion d’images pornographiques qui ont inondé les réseaux sociaux de Guinée équatoriale ces derniers jours.
Nguema Obiang Mangue juge inacceptable que la dignité et la réputation des femmes mariées soient compromises par des actes qui choquent actuellement toutes les générations du pays. En outre, il a qualifié cette situation de grave car, selon le membre du gouvernement, elle menace la structure familiale nationale.
Au cours de la réunion, Nguema Obiang Mangue a déclaré que la prolifération de ces vidéos pornographiques peut créer une déstabilisation dans le pays car elle est déjà considérée comme un problème social national pouvant nuire à la sensibilité des générations futures.
Après avoir analysé les différents aspects et politiques qui peuvent être utilisés pour mettre fin à cette situation, le chef de la Défense et de la Sécurité a déclaré que nous parlons de femmes mariées, mères de famille qui se sont laissées filmer dans des actes sexuels et que le gouvernement ne peut pas traverser.
Par conséquent, et compte tenu du fait qu’il existe plus de 400 vidéos sur les réseaux sociaux, des mesures urgentes et énergiques doivent être prises pour mettre fin à cette situation ; afin de protéger les femmes dont les vidéos n’ont pas encore été publiées.
Entre-temps, il a ordonné aux personnes présentes de se réunir pour élaborer une stratégie qui apporterait une solution immédiate à cette situation et de la lui présenter demain pour approbation. Et malgré ce travail, les services de renseignement poursuivent leur enquête ; L’idée est de connaître l’origine desdites publications pour en retrouver le ou les auteurs et les faire répondre de leurs actes.