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États-Unis : Donald et Mela­nia Trump feraient chambre à part

apr-news- Donald et Mela­nia  Trump
Mardi, 9 janvier 2018

États-Unis : Donald et Mela­nia Trump feraient chambre à part

APRNEWS-Le livre Feu et fureur : dans la Maison Blanche de Trump, dans sa version originale: ''FIRE AND FURY, inside Trump white house'' de Michael Wolff, révèle des infor­ma­tions gênantes sur l'inti­mité du couple prési­den­tiel améri­cain. Mela­nia et Donald Trump feraient chambre à part. Une infor­ma­tion que la Première dame avait pour­tant démen­tie.

En mars 2017, la rumeur d'une ambiance glaciale entre Donald et Mela­nia Trump courait déjà dans la presse. La Première dame avait alors démenti que le couple prési­den­tiel faisait chambre à part.

Pour­tant, l'infor­ma­tion revient dans le livre de Michael Wolff, Feu et fureur : dans la Maison Blanche de Trump. Le jour­na­liste raconte dans son ouvrage le malaise qui règne entre le président des États-Unis et son épouse. « Le mariage de Donald Trump lais­sait perplexe presque tout le monde autour de lui (…) Donald et Mela­nia passaient rela­ti­ve­ment peu de temps ensemble. Ils pouvaient passer des jours sans contact, même quand ils étaient tous les deux dans la Trump Tower. » Il ajoute : "Souvent, elle ne savait pas où il se trou­vait. Son mari démé­na­geait d'une rési­dence à une autre, comme on va d'une pièce à l'autre".

Ces anec­dotes pour­raient s'ajou­ter aux raisons qui ont poussé Mela­nia Trump à mettre plusieurs mois à démé­na­ger à la Maison Blanche.

Elle avait justi­fié cette déci­sion par le fait de ne pas vouloir déra­ci­ner son fils Barron, pour qu'il puisse termi­ner son année scolaire à New-York. Derniè­re­ment, elle a aussi coupé court aux rumeurs qui affir­maient qu'elle n'avait jamais voulu deve­nir First Lady.

Pour­tant, le livre de Michael Wolff révèle que le soir de l'élec­tion de son époux, Mela­nia Trump était « en larmes, mais pas de joie ». Son mari lui aurait assuré qu'il ne gagne­rait pas l'élec­tion.

Même le milliar­daire « ressem­blait à quelqu'un ayant vu un fantôme », raconte l'écri­vain. En 2011 déjà, le mannequin avait réussi à dissua­der Donald Trump de se présen­ter aux élec­tions améri­caines, lui affir­mant qu'il était déjà « la plus grande star du monde, plus célèbre encore que Tom Cruise » et n'avait pas besoin de plus.

Avec GALA